Astuces pour ne pas stresser son enfant avant la rentrée

enfant zen

Je vous livre aujourd’hui quelques clés pour éviter que votre enfant arrive à l’école en septembre complètement stressé et anxieux.

Elles sont utilisables de la petite section au collège. Si vous voulez plus d’infos spécifiques sur la rentrée en petite section et des astuces pour préparer votre enfant à sa première rentrée, c’est ici.

Voici donc mes quelques petits conseils pour une rentrée zen.

  • Pendant l’été, ranger le cartable et les fournitures de rentrée

Inutile que votre enfant le voie tous les jours. Cela pourrait provoquer du stress inutile. On le range et on ne le sort que la veille de la rentrée! (sauf s’il adore jouer avec bien sûr…).

  • Ne pas parler trop tôt de la rentrée

Il est en vacances, il profite et c’est normal. Il faut éviter de lui en parler trop souvent. Et surtout trop tôt. Attention également à la façon dont vous lui en parlez !

– Bientôt l’école ! Ça va plus rigoler !
– J’espère que la maîtresse sera gentille avec toi !
– Attention à ne pas te faire punir !
– Ça va te faire tout drôle de plus être avec maman…!
– Tu vas beaucoup me manquer quand tu seras à l’école, je vais être triste sans toi.
– Tu riras moins avec ton maître à la rentrée!

Briefez les grands parents qui ont malheureusement parfois des réflexions « d’un autre temps » qui peuvent effrayer les enfants.

  • Ne pas tout changer la semaine avant la rentrée

Pas besoin d’un calendrier avec le décompte des jours avant la rentrée. Vous pouvez simplement lui expliquer quelques jours avant qu’il ira bientôt à l’école (dans …x… dodos). Gardez vos habitudes et votre routine. Evidemment, si vous l’avez habitué à se coucher à 23h pendant tout l’été, la semaine précédant la rentrée, tentez de revenir à des horaires de coucher un peu plus raisonnables. Et si vous n’y arrivez pas, pas d’inquiétude. Au bout de quelques jours d’école, il sera sûrement crevé et il aura envie de dormir bien plus tôt (merci qui?).

  • Lui expliquer simplement l’école

Pour les plus petits qui vont faire leur première rentrée, vous pouvez lui raconter comment vont se passer ses journées à l’école. Les différents moments qu’il vivra (accueil, motricité, activités, récré, cantine, sieste…), les lieux (dans la classe, dans la salle de cantine, dans le dortoir, dans la cours dehors), les personnes avec qui il sera (l’enseignant, l’Atsem, les copains), le moment où vous viendrez le récupérer (avec des repères simples : après la récré, avant de manger, après la sieste…).

Vous pouvez également lui lire un album sur le sujet pour qu’il comprenne plus facilement. Voici mes préférés !

  • Ne pas en faire un événement trop solennel

Dédramatisez ! La tenue de rentrée, la photo de rentrée, les larmes de maman … toutes ces petites choses qui font réaliser à l’enfant qu’il se passe quelque chose de bizarre. Et qui vont provoquer de l’angoisse et de la peur. C’est une journée certes un peu différente qui se passera bien ou peut-être moyennement bien mais qui passera vite. Et on se revoit tous le soir. Alors cool !

  • Les parents : faire un travail sur soi!

Ah ah ! Mais de quoi elle parle ? Comme vous le savez, vos enfants sont de vraies éponges émotionnelles. S’ils sentent que vous êtes vous-même stressé(e), il le sentira et vivra les choses aussi mal que vous.

Donc, oubliez votre propre relation passée à l’école, surtout si elle est mauvaise. Ne faites pas de transfert. C’est normal d’avoir des craintes pour son enfant, mais ce n’est pas parce que vous avez eu une mauvaise expérience avec l’école dans votre enfance que tous les enseignants sont des cons et que votre enfant subira la même chose. Il a son chemin de vie à parcourir, son chemin propre, il n’est pas vous. Faites lui confiance.

Si vous êtes en paix avec tout ça, zen et serein, cela améliorera grandement les choses pour votre enfant, croyez moi.

Pour l’anecdote personnelle, j’ai détesté l’école primaire du début à la fin. Trop timide, anxieuse et collée à ma maman, j’ai vraiment souffert de devoir y aller tous les jours (le nombre de fois où je m’inventais des maladies pour que ma maman me garde…). Il a fallu que j’oublie tout ça, tout du moins que je le mette de côté pour permettre à ma fille de venir à l’école avec le sourire. Je lui ai présenté l’école comme une expérience riche pour elle et positive. Avec légèreté. Pas simple.. mais ça m’a aidé à m’apaiser moi-même par rapport à mes angoisses de petite élève très introvertie qui manquait de confiance en elle. Elle adore aller à l’école, et j’en suis ravie ! (J’en parlais de façon plus détaillée dans cet article).

  • Prévoir un moment sympa la semaine de la rentrée

Pour se détendre vous pouvez prévoir et fixer avec votre enfant un moment sympa avec lui. Un petit resto le soir de la première journée d’école, un ciné le mercredi, un tour au parc après l’école, une petite glace… Peu importe. Ça permet de souffler, de se changer les idées et de garder un petit bout de vacances 😉

Je vous laisse avec quelques conseils pour le jour de la rentrée ici.
Et profitez bien de votre été ! Il est loin d’être terminé 🙂

 

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Quelques albums pour débattre avec les petits

Suite à une formation sur le sujet du débat en maternelle, j’ai découvert des albums de littérature jeunesse qui permettent d’ouvrir les enfants aux discussions « philosophiques ».

On les aborde généralement vers les 4-5 ans de l’enfant. Mais il est tout à fait possible de les aborder un peu plus tôt, en prenant soin d’expliquer le vocabulaire, de simplifier le débat avec des discussions adaptées à leurs préoccupations concrètes et de le limiter dans la durée.

  • Quelques astuces pour débattre avec des petits

La durée des débats doit être courte, du moins au début. On peut commencer par des débats de 10min. Avec l’habitude, les enfants pourront probablement tenir plus longtemps mais on ne dépassera probablement pas 20min (ce qui est déjà énorme!).

On laisse le rôle d’animateur de débat à l’adulte, qui va lancer des questions, rebondir sur les réponses, reformuler … ces actions étant très compliquées à gérer pour de jeunes enfants.

L’avantage de partir d’une lecture, c’est que ça peut permettre de débloquer les enfants sur des sujets qui ne sont pas faciles à aborder comme ça directement. Avec ma fille par exemple, ça marche vraiment !

  • Mon choix d’albums

Voici trois albums passionnants et qui se prêtent très bien au débat.

Petit Castor et Fleur de Cactus

Résumé: Castor-Têtu est un jeune indien. Il est à la recherche de la squaw idéale (« la future épouse parfaite »). Celle-ci doit savoir cuisiner, laver le linge, ranger le tipi… Or il rencontre une jeune indienne dénommée Fleur-de-Cactus  qui ne correspond à aucun des critères requis. Et pourtant …

fleur cactus castor têtu 2

Thèmes à aborder avec les petits:
– l’amour
– l’amitié
– les relations garçon/fille
– les stéréotypes garçon/fille

Ce livre est vraiment intéressant car il permet d’ouvrir la discussion sur l’amitié entre les enfants. Après avoir lu cette histoire, on peut partir sur un des thèmes ci-dessus en leur posant quelques questions. On commence par des questions en lien avec l’histoire pour s’en éloigner petit à petit et parler des enfants et de leurs préoccupations à eux.

  • Est ce que Petit Castor et Fleur de Cactus sont amis au début ? Et à la fin?
  • Qu’est ce qui fait qu’ils sont devenus amis?
  • Et vos amis à vous, est ce qu’ils vous ressemblent ?
  • Qu’est ce que vous aimez chez vos amis?
  • Est ce que c’est grave si on ne garde pas ses amis pour toute la vie ?
  • Est ce qu’on peut avoir plusieurs amis?

Ce ne sont que des exemples des questions qui peuvent être posées. Il pourrait y en avoir encore beaucoup d’autres. Et en fonction de ce que les enfants vont répondre, de nouvelles questions risquent d’émerger. Mais sur le temps d’un débat, vous n’aurez probablement pas le temps d’en aborder beaucoup, c’est normal et ce n’est pas grave.

 

L’ours qui fixe

Résumé: C’est l’histoire d’un ours qui va à la rencontre d’autres animaux et qui les fixent sans leur parler. Ces derniers n’apprécient pas du tout, et le rejettent ou l’insultent. L’ours ne comprend pas pourquoi ils réagissent comme ça jusqu’au moment où il aperçoit son reflet dans l’eau. En effet, son expression de visage n’est pas très engageante pour les autres! Et pourtant, il aimerait bien se faire des amis mais sa timidité l’empêche de parler. Sous les conseils de la grenouille, il va apprendre qu’un simple sourire peut changer la réactions des autres.

l'ours qui fixe 2

Thèmes à aborder avec les petits:
– la timidité
– l’amitié
– la politesse

J’aime beaucoup ce livre car il aborde le sujet de la timidité du coté du timide mais montre aussi les réactions que cela peut créer chez les autres. Une bonne idée pour aider les enfants timides à dépasser leur peur.

Du bon côté

Résumé: C’est l’histoire d’un mur très haut entre deux pays. De chaque côté, vivent des gens qui sont persuadés qu’il y a des méchants de l’autre côté du mur. Un jour, un enfant décide de faire un petit trou dans le mur pour voir qui sont les méchants de l’autre côté. Il agrandit le trou jusqu’à temps que le mur s’écroule totalement. Les enfants se regardent, se rendent compte qu’il n’y a pas de méchants et finissent par tous jouer ensemble. Les adultes, plus méfiants et plein de préjugés sur l’autre côté, n’osent pas trop communiquer entre eux. Mais grâce aux enfants qui vont les convaincre, ils vont également réussir à discuter, rigoler, échanger… A la fin du livre, on se demande finalement qui avait construit ce mur et pourquoi ? Personne ne le sait mais tout le monde est d’accord pour penser que c’était une vraie bêtise, et que plus jamais on ne refera une chose pareille.

du bon côté

²– La différence entre les gens
– Les idées toutes faites (les préjugés)
– Le respect des règles
– La curiosité
– Communiquer avec les autres

Cet album est extrêmement riche pour débattre. On peut aborder beaucoup de thèmes différents grâce à lui (c’est d’ailleurs un « album philo » conçu pour ça. Il en existe d’autres dans cette collection). Il n’est pas sans rappeler le mur de Berlin ou encore plus d’actualité les frontières Mexique/ Etats-Unis. Evidemment ces sujets sont à aborder avec des enfants plus grands mais on peut faire émerger des thèmes plus simples, à la portée des petits. Un album  qui peut donc être lu à tout âge.

Voilà 3 jolies références d’album pour débattre, discuter avec des petits. 

Alors n’hésitez pas et lancez-vous. Et vous verrez, ils vous surprendront !

Comment attraper tous les virus d’hiver quand on est maître(sse) d’école ?

hiver neige.jpgFuturs enseignants, dans cet article, je vais vous donner tous mes petits trucs pour bien choper tous les microbes de l’hiver qui passent à l’école ! Et si si je vous assure, ça marche vraiment !

Je précise que tout de même, que la tâche sera plus aisée pour les enseignants de maternelle. Et plus la classe est chargée, plus ça fonctionnera vite!

  • Le matin, faire un bisou à chacun des élèves. Insister bien sûr sur ceux qui ont le nez qui coule (les fameuses chandelles) et les yeux qui pleurent.
  • Toujours se mettre à leur hauteur quand ils éternuent pour bien réceptionner tous leurs miasmes. Et attendre un peu avant de les essuyer, voire ne pas les essuyer du tout.
  • Ne pas hésiter à tenir dans les mains leurs doudous baveux.
  • Moucher régulièrement les petits nez qui coulent sans se laver les mains derrière (bien évidemment).
  • Boire directement au robinet des toilettes, en prenant soin de bien toucher le robinet avec sa bouche.
  • Oublier son écharpe lors de la surveillance de récréation. Pour une action plus renforcée, pensez à également oublier les gants.
  • Prendre ses vieilles chaussures dont la semelle est trouée lorsqu’il neige (ou qu’il pleut).
  • Dormir le moins possible la nuit (Interdiction de se coucher avant  1h)
  • Demander aux enfants de laisser traîner les mouchoirs usagés partout dans la classe (astuce infaillible !)
  • Manger vite et mal (carambar, smarties et autres sucreries qui vous font envie)
  • Ne pas se soigner quand les premiers symptômes arrivent, surtout ne jamais écouter son corps !

Ces astuces sont également utiles pour vous les parents, n’hésitez pas à les tester !

Et si jamais vous en connaissez d’autres, ça m’intéresse ! (… ou pas…)

Les mamans d’élève

maman école.jpg

Depuis 11 ans que j’enseigne, j’ai pu croiser beaucoup, beaucoup de mamans… 

La maman angoissée

  • On trouve dans le sac de son enfant : 4 tenues de rechange, deux tubes de crème solaire, une trousse à pharmacie complète, des goûters pour un mois…
  • Elle me demande un bilan complet de la journée tous les après-midis après la classe.
  • Elle regarde son enfant sous toutes les coutures quand elle le récupère le soir (pour être sûr qu’il n’ait aucun bobo que j’aurais râté).
  • Elle n’a souvent qu’un enfant (mais pas toujours).

La maman zen

  • Elle a toujours le sourire, même quand elle arrive en retard le matin (ce qui est souvent le cas).
  • Elle ne me demande jamais comment se passe la journée de son enfant « Tant qu’il a le sourire, tout va bien !».
  • Elle s’adapte, me fait confiance, me propose son aide pour les sorties et ne me fait jamais de reproches.
  • Quand son enfant se fait mal, elle répond « C’est la vie, il en verra d’autres !»
  • Elle me donne des complexes !

La maman psy

  • Elle analyse tout ! Le comportement de son enfant mais aussi celui des autres (et même celui des autres parents …voire le mien…)
  • Quand je lui dis que son fils a tapé, elle me répond « C’est normal, il est en plein Œdipe par rapport à moi, et rejette sa colère et sa frustration sur les autres » (ok alors tout va bien, il peut continuer ^^)
  • Elle me demande tous les jours si son fils joue avec les autres et qui sont ses amis.
  • Elle trouve un sens caché à chacun des dessins du rejeton «On voit clairement l’égocentrisme à son paroxysme dans les proportions du visage de son bonhomme!»

La maman de famille nombreuse

  • Elle me rend le cahier de liaison 2 semaines en retard car il était perdu dans la maison (elle l’a retrouvé finalement dans la niche du chien). Et puis parfois elle me donne le cahier de l’aîné au lieu de celui du petit.
  • Elle ne traîne pas à l’école le matin car elle n’a pas le temps.
  • Elle a des cernes et court partout!
  • Elle est très attachante car humaine et compréhensive.
  • Je suis très admirative de cette maman…!

La working mum

  • Je ne la vois pas très souvent car ses enfants vont à la garderie matin et soir.
  • Quand je fais des réunions, elle n’est disponible qu’après 19h ou le samedi matin.
  • Elle ne sourit pas beaucoup, elle est souvent au téléphone.
  • Elle se gare à l’arrache en double-file, sur le passage piéton (pas le temps!)
  • Elle aime ses enfants et son boulot aussi, du coup elle se sent souvent tiraillée.

La maman solo

  • Elle a du mal à quitter son enfant certains matins car elle sait qu’elle ne le reverra que la semaine suivante. 
  • Elle panique quand je programme des sorties au dernier moment car elle va devoir téléphoner au papa (cet espèce de connard …!).
  • Elle câline beaucoup son enfant, lui dit qu’elle l’aime tous les jours.
  • Elle n’a pas le moral parfois, alors elle vient souvent discuter avec moi.

 

Ces femmes, aussi différentes soient-elles ont l’unique point commun d’être des mamans. L’école les réunit, et c’est d’ailleurs parfois ici qu’elles lient de vraies amitiés.

Depuis que je suis moi-même maman, je les comprends mieux (et je suis bien plus indulgente !). Je ne sais pas laquelle d’entre elles je suis. Sûrement un peu toutes à la fois…

Et vous ? Quelle maman êtes-vous ?

 

*Evidemment le trait est un peu grossi ! 😉

sélection Hellocoton

 

Publié également dans le Huffington Post

france

Ne pas transmettre ses angoisses d’école à son enfant…

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Aujourd’hui, ça n’a échappé à personne, nous sommes le jour de la rentrée. 

Etant enseignante, je me rends compte que bien souvent, les parents sont beaucoup plus angoissés que les enfants. Et du coup, ils leur transmettent ce stress…

Moi-même, je déteste la rentrée. Etant petite, je n’aimais pas aller à l’école. Ça ne s’est vraiment arrangé qu’au collège et surtout au lycée. Avant de partir à l’école, j’avais mal au ventre, j’angoissais pour la cantine (on nous forçait à finir…eurk), j’avais peur de mes enseignants (notamment qu’on me demande d’aller au tableau !). J’étais une petite fille intelligente qui bossait bien mais très discrète et effacée qui ne se faisait jamais remarquer. 

Et pourtant, j’ai aussi de bons souvenirs à l’école. J’avais mon groupe de copines que j’adorais (et j’en côtoie encore certaines d’ailleurs), j’aimais bien apprendre, j’adorais les récré… 

Je n’ai jamais vraiment subi d’humiliations ou de rejet de la part des autres (bon je me souviens d’une « Marie » qui alignait les filles de l’école le matin et sélectionnait ses amies du jour en fonction de leur tenue. Autant dire qu’avec mes serre-têtes et mes petits pulls tricotés-main, je n’avais pas souvent la « chance » d’être choisie ! Quelle peste cette fille… Bref passons …!).

Et pourtant, les veilles de rentrée ainsi que les dimanches soirs, toujours la même rengaine… Un coup de blues s’emparait de moi à l’idée d’y retourner. Ce coup de blues, je l’ai toujours (bah oui je suis devenue prof). Et même cette année alors que je suis en congé maternité, j’ai le bourdon le dimanche soir … 

Alors j’essaie au maximum de positiver les choses devant ma fille. « Tu vas voir, l’école ça va être super, je suis sûre que tu t’y plairas beaucoup ! ». On rigole, on fait des jeux … Bref on essaie de dédramatiser. Pas pour elle finalement, mais plutôt pour moi. J’aimerais qu’elle n’hérite pas de mon cafard de pré-rentrée. 

J’aimerais qu’elle soit simplement contente d’y aller, ou même indifférente. Mais qu’elle ne se fasse pas de nœuds au cerveau et à l’estomac comme j’ai pu me faire étant petite (et son papa aussi d’ailleurs qui était un peu le même genre d’enfant que moi). Bref, une petite fille bien dans sa peau, dans sa tête et qui ait suffisamment confiance en elle pour appréhender les choses sereinement. 

 

J’espère que chez vous la rentrée s’est bien passée pour vos enfants … Et pour vous !

Racontez-moi comment vous l’avez vécue en tant qu’adultes et parents ! 

Cet article a été écrit dans le cadre des jeudis éducation. Si le sujet de la rentrée vous intéresse, n’hésitez pas à cliquer en dessous pour lire les articles d’autres parents blogueurs !

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